Pourquoi choisir un avocat spécialiste en droit de la famille ?

Pourquoi choisir un avocat spécialiste en droit de la famille ?

Un spécialiste hautement qualifié

Le droit de la famille est une spécialisation nécessaire et fine, qui recouvre les domaines suivants :

rupture et séparation du couple,

connaissance du processus psychologique de la rupture et des violences conjugales,

autorité parentale et psychologie de l’enfant,

liquidation de régimes matrimoniaux,

fiscalité de la famille,

droit international privé,

droit patrimonial de la famille,

droit de l’indivision et des successions,

droit des personnes vulnérables.

Les avocats membres de l’association sont tous, soit titulaires de la spécialité en droit de la famille, des personnes et de leur patrimoine, soit titulaires d’un champ de compétence ayant directement trait au droit de la famille.

Un professionnel pluri-disciplinaire

L'avocat spécialiste en droit de la famille, des personnes et de leur patrimoine est un avocat qui a choisi d'exercer son activité quotidienne au service des personnes qui rencontrent des difficultés familiales de tous ordres.

Cet avocat spécialiste en la matière est non seulement un juriste formé aux différents domaines du droit de la famille (droit du mariage, des régimes matrimoniaux, du concubinage, droit des ruptures, du divorce, droit de la filiation, droit des tutelles), mais également aux méthodes alternatives de résolution des conflits familiaux (médiation et droit collaboratif).

L'avocat spécialiste en droit de la famille, des personnes et de leur patrimoine a une formation qui combine des approches pluridisciplinaires (droit de la famille, psychologie et sociologie de la famille, techniques de négociation raisonnée) acquises au cours d'une formation initiale et d'une formation continue.

Avec l'évolution et la complexité du droit familial, un avocat trop généraliste ne peut que difficilement en appréhender toutes les facettes.

La pratique quotidienne et les réflexions d’un authentique spécialiste sont, en ce domaine, vos garanties les plus sûres.

La transparence de ses honoraires

Pour rémunérer ses services, l’avocat vous réclamera paiement de ses "honoraires".

En pratique, il est fortement recommandé d’établir une convention d’honoraires écrite qui détaillera précisément les modalités de la rémunération de l’avocat. Cette dernière est d'ailleurs désormais obligatoire en matière de divorce.

Cette convention peut prévoir que les honoraires seront fixés "au forfait" avec des modalités de paiement (la plupart du temps par provisions successives en fonction de l’avancement du dossier) ou que les honoraires seront calculés "au temps passé" en fonction des travaux effectués par l’avocat. La convention peut également prévoir un honoraire complémentaire dit "de résultat" qui est fonction du bénéfice que le procès aura apporté au client. Cette pratique est légale à la condition qu’elle ne constitue pas l’unique rémunération de l’avocat, car le droit français interdit la clause dite "pacte de quota litis" qui fixe la totalité des honoraires en fonction du résultat, comme cela se pratique aux USA par exemple.

Les avocats spécialistes membres de l'association s’engagent à établir à la demande du client une convention d’honoraires écrite et à lui remettre un relevé des travaux effectués pour justifier les honoraires réclamés.

Une chartre déontologique spécifique

La profession d’avocat se caractérise par sa déontologie c'est-à-dire par l’ensemble des règles « de bonne conduite » qui régissent les membres de la profession.

Sa principale caractéristique est qu’elle est tenue au secret professionnel. Il est général, absolu et illimité dans le temps car l’avocat est le confident nécessaire de son client.

De même le secret des correspondances est un principe absolu. C’est pourquoi l’avocat ne pourra jamais communiquer à son client (ni à personne d’autre) une copie d’une lettre échangée avec un autre avocat, ni à quiconque copie d’une lettre échangée avec son client.

Cette confidentialité est tout particulièrement importante dans le domaine du droit de la famille; elle permet la recherche d’un terrain d’entente avant l’engagement d’une procédure, ou en cours de procédure, sans crainte pour les droits de chacun qui restent préservés puisque, en cas de défaut d’entente amiable, ce qui a été écrit au cours des négociations ne peut être révélé par personne.

Les avocats membres de l'association sont particulièrement attachés au respect des règles déontologiques et de la confidentialité. Il n'y a pas de pratique du droit de la famille sans une déontologie adaptée, une réflexion sur l'éthique de l'intervention des avocats dans leur rôle de conseil, de prévention, de défense, de négociateur, de leur capacité à se poser non pas forcément en médiateur mais de poser des actes de médiation. L'avocat est dans dans une situation d'interactivité et d'interaction permanente avec le Juge de la famille et les autres professionnels intervenants.

Les membres de l'IDFP Grasse travaillent donc actuellement sur l’élaboration d’une charte déontologique spécifique au Droit de la famille.